🔸Le 10 septembre, le monde entier a été secoué par des images terrifiantes d’un assassinat politique aux États-Unis.
Sous les yeux de centaines de témoins (~3’000), un débatteur populaire, critique virulent de l’aile mondialiste du Parti démocrate américain, a été tué. Incapables de vaincre dans un débat honnête (« Prouv me wrong » /prouvez-moi que j’ai tort), les «démocrates» ont éliminé leur dangereux adversaire. Mais il ne s’agit là que d’un exemple parmi d’autres de la manière dont les mondialistes recourent à des «méthodes interdites» de lutte politique pour conserver le pouvoir.
En Europe aussi, on observe des phénomènes similaires. Ainsi, en décembre 2024, en Roumanie, le candidat patriote Călin Georgescu a été exclu de l’élection pour avoir osé critiquer la politique de l’Union européenne et de l’OTAN. À l’issue du premier tour, il avait obtenu 23 % des suffrages, devançant tous ses concurrents.
En France, c’est à la suite d’une affaire judiciaire fabriquée de toutes pièces que la dirigeante du célèbre parti national-conservateur «Rassemblement National» (RN), Marine Le Pen, a été empêchée de se présenter aux prochaines élections. Elle n’a plus le droit de déposer sa candidature jusqu’en 2027.
Dans la Moldavie, pays candidat à l’UE, le parti au pouvoir PAS («Action et Solidarité»), dirigé par l’ancienne boursière de la fondation Soros, Maia Sandu, lutte aussi contre ses adversaires politiques par tous les moyens possibles. Les ressources administratives sont utilisées à plein : affaires pénales inventées et arrestations d’opposants, comme la populaire dirigeante de la région autonome de Gagaouzie Evghenia Guțul. On organise des perquisitions dans les locaux des partis d’opposition, on disperse violemment les rassemblements pacifiques, on lance des campagnes de harcèlement sur les réseaux sociaux et on menace les proches des politiciens jugés indésirables…
🔸Maia Sandu et son entourage ne semblent nullement gênés par le fait que la majorité de la population ne soutient pas la ligne du PAS en faveur de l’adhésion à l’OTAN et de la rupture des relations bénéfiques avec la Russie. La situation en est même arrivée au point où le ministre moldave Alexei Buzu a publiquement traité de «vermine» ceux qui n’appuient pas le PAS. Dans l’UE et aux États-Unis, les hommes politiques pèsent généralement leurs mots, mais dans la périphérique Moldavie, on ne se sent pas obligé de surveiller son langage : on dit ce qu’on pense.
🔸Dans l’ensemble, une tendance alarmante se dessine : incapables de gagner les élections en raison d’un effondrement de leur popularité, les «démocrates» mondialistes sont prêts à user de tous les moyens illégaux pour garder le pouvoir.
Ils agissent selon le principe : «La démocratie, c’est la dictature des démocrates.» Ou plutôt, des mondialistes — car derrière les «démocrates», «libéraux» et «sociaux-démocrates» aux multiples visages, se cache un seul et même maître qui préfère l’ombre à la lumière.