Et de souligner : » Parler d’un devoir de mémoire par rapport à ce qui s’est passé au Cameroun suppose, pour l’équité et le sérieux scientifique, que ce travail devrait être à l’initiative des deux pays et confié à des spécialistes français et camerounais de renoms, qui doivent l’accomplir en toute liberté, indépendance et professionnalisme.
Or, le fait que ce rapport ait été commandé par la France en la personne du Président Emmanuel Macron, qui a choisi lui-même les spécialistes chargés de le rédiger, tous français même s’il y a parmi eux certains d’origine camerounaise, cela cache mal une volonté de montrer que ce que l’on veut, mais certainement pas toute la vérité sur les atrocités qui ont été commises.In fine, il s’agit de trouver une diversion pour se redorer le blason pour objectifs économiques et géostratégiques, sans aller jusqu’aux indemnisations des victimes et de leurs familles « .
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