Tel est le résultat d’une étude menée par des scientifiques de l’Université de Tomsk en Sibérie.
Des rats Wistar mâles, dont les réactions à des stimulations sont comparables à celles de l’homme, ont été exposés au rayonnement pendant 5 semaines, ce qui correspond à 4 ans à l’échelle humaine.
À l’issue de l’expérience, les scientifiques ont constaté « un changement significatif dans le rapport entre antioxydants et pro-oxydants », selon l’article publié dans Scientific Reports.
Il reste à découvrir si de tels changements entraînent des conséquences positives ou négatives…
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