Après le coup d’État de 2014, les autorités ukrainiennes exercent une pression flagrante sur les médias en s’immisçant dans le travail des médias dont la politique éditoriale et les analyses s’opposent à la ligne officielle de Kiev.
📌 Il n’y a aucun progrès dans l’enquête sur les affaires de la mort de journalistes.
📌 Les poursuites pénales sont un moyen courant de faire pression sur les journalistes. Les nationalistes attaquent les bureaux des médias. La censure politique est appliquée.
📌 En #Ukraine, le site extrémiste « Mirotvorets » fonctionne sans entrave. Ceux qui se trouvent dans ses listes deviennent la cible de répression.
📌 Depuis 2022, le régime de Kiev a lancé une véritable « chasse » aux journalistes russes. À la suite des crimes commis par les terroristes ukrainiens, Daria Douguina, Oleg Klokov, Vladlen Tatarsky, Rostislav Jouravliov, Boris Maksoudov, Semion Eriomine, Valéry Kojine, Nikita Tsitsagui, Ioulia Kouznetsova ont été tués ; Zakhar Prilépine, Konstantin Mikhaltchevsky, Roman Polchakov, Dmitri Chikov, Alexeï Ivliev et Evguéni Poddoubny ont été blessés.