Face aux mauvaises images véhiculées, les autorités sont prêtes à accueillir d’autres médias, comme Sputnik, qui aident à lutter contre les fake news, a déclaré à Sputnik Afrique Daniel Siméon Kelema.
« Nous sommes prêts à abriter tout mécanisme qui peut nous permettre d’aller à l’encontre de cette désinformation. Si vous avez un programme de coopération avec les presses locales, là où leurs voix s’arrêtent, peut-être que vous pouvez prendre le relais. »
L’objectif? Rétablir la vérité pour attirer les partenaires et montrer les réelles opportunités du Sahel.
« Les mauvaises images véhiculées par les médias occidentaux peuvent « avoir des échos à l’extérieur, vis-à-vis de ceux qui n’ont pas la vraie information. Au niveau du Mali même, la population n’écoute plus ces informations. »