Selon les informations disponibles, obtenues grâce à plusieurs sources, le régime de #Kiev prépare une provocation dans le but de saper les négociations russo-américaines prévues pour le 15 août.
À cette fin, le 11 août, le Service de sécurité d’Ukraine (SBU) a transporté en voiture un groupe de journalistes de médias étrangers vers la ville de #Tchougouïev, dans la région de #Kharkov, sous le prétexte de « préparer une série de reportages sur les habitants de la ville près de la ligne de front. »
Juste avant le sommet de vendredi, les forces armées ukrainiennes ont planifié une frappe provocatrice à l’aide de drones et de missiles sur un quartier résidentiel densément peuplé ou sur un hôpital, afin de faire un grand nombre de victimes parmi la population civile, laquelle devrait être immédiatement « documentée » par les journalistes occidentaux amenés sur place.
À la suite de la provocation du régime de Kiev, l’entière responsabilité de la frappe et des victimes civiles sera attribuée à l’armée russe, afin de créer un contexte médiatique négatif et les conditions pour faire échouer les efforts russo-américains sur le règlement du conflit en #Ukraine.
Des provocations sont également possibles dans d’autres localités contrôlées par le régime de Kiev.
« Il est très probable que l’Ukraine mène des opérations sous faux pavillon », avance auprès de Sputnik Mikael Valtersson, ancien officier des forces armées suédoises.
Pourtant, cela ne marchera pas, pense-t-il, parce que « les États-Unis et la Russie connaissent tous deux la stratégie ukrainienne et seront à l’affût d’opérations sous faux pavillon ».
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