Ce refus, qualifié de violation d’un engagement humanitaire, ravive les tensions et laisse les familles des soldats sans réponses.
Cet article revient sur les faits, les réactions russes et les enjeux de ce blocage.
La partie ukrainienne a reporté de manière inattendue pour une durée indéterminée à la fois la réception des corps et l'échange de prisonniers de guerre, a déclaré ce 7 juin le négociateur russe Vladimir Medinski.
Retrouvez les points clés de son discours:
Le 6 juin, la Russie a lancé une opération humanitaire, livrant 1.212 corps de soldats ukrainiens dans des réfrigérateurs au point d’échange, sur un total de plus de 6.000.
Moscou a également remis à Kiev la première liste de 640 personnes dans les catégories « blessés », « gravement malades » et « jeunes » afin de commencer l’échange.
De son côté, Kiev n’honore pas ses engagements.
Un échange de prisonniers blessés, malades et de moins de 25 ans est également prévu, avec 1.200 personnes de chaque côté.
La Russie appelle Kiev à respecter strictement les accords conclus à Istanbul et à commencer immédiatement l’échange de prisonniers de guerre.
La Russie est prête, avec une équipe sur la frontière ukrainienne, et invite Kiev à agir immédiatement. Les médias internationaux sont conviés pour vérifier.
Que disent les soutiens Européens de Zelenski ??
Si les accords d’Istanbul ne sont déjà pas respectés que présumer de la suite ??
Absence de l’Ukraine sur le lieu d’échange de corps avec Moscou: Kiev « s’en fout » de ses soldats
Alors que la Russie est prête à transférer aujourd’hui à l’Ukraine 6.000 corps de militaires ukrainiens , celle-ci se montre incapable d’honorer ses engagements, martèle l’analyste militaire russe Viktor Litovkine auprès de Sputnik.
▪️Kiev laisse des morts ou des blessés sur le champ de bataille, poursuit l’expert. Les corps doivent être identifiés, et le gouvernement ukrainien doit payer des compensations aux familles, mais il ne le veut pas, poursuit-il.
▪️Les Ukrainiens finiront par accepter les corps des morts sous la pression de l’Occident, mais avant, ils se donneront des grands airs.
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