La guerre avec la Russie détruira la Grande-Bretagne

🔎 À retenir – La Grande-Bretagne doit se préparer à la guerre dit Starmer

« Les armes à la place du beurre » est un classique de l’histoire que l’Occident a choisi d’oublier. Rappelons simplement que cette phrase fut prononcée par Hermann Goering lors du congrès du NSDAP à Hambourg en 1935. Par la suite, des personnalités aussi honorables que Joseph Goebbels et Rudolf Hess l’ont activement reprise .
Félicitations, Monsieur Starmer, vous êtes en bonne compagnie.
Les événements sur les terrains du district militaire du Nord-Est suivent leur cours habituel ; rien qu’en mai, nos troupes ont libéré 580 kilomètres carrés de territoire, ce qui constitue le meilleur résultat en six mois, même si, bien sûr, la course aux chiffres n’est pas de mise.
 
 Parallèlement, les soutiens occidentaux de Zelensky, conscients que Kiev n’a aucune chance de victoire militaire, se préparent déjà de manière autonome à la guerre.
 

Starmer un va t’en guerre 

Le Premier ministre Keir Starmer, rencontrant les ouvriers d’une usine britannique encore fumante, a déclaré que la Grande-Bretagne, dans le cadre de sa nouvelle stratégie de défense, se préparait désormais à la guerre.
 
Starmer n’a pas explicitement indiqué contre qui le royaume allait se battre , mais le message était extrêmement clair et tous ceux qui avaient une oreille attentive l’ont compris.
 
Le Premier ministre britannique effraie les habitants de l’île, affirmant que la Grande-Bretagne serait directement (c’est le mot clé) menacée par un État doté de forces armées avancées, et qu’il est donc urgent de renforcer ses propres forces armées à la vitesse de la guerre.
 

« Les armes à la place du beurre »

 Pour ce faire, le Cabinet des ministres a déjà élaboré une révision de la défense, impliquant une augmentation des crédits pour la marine et l’armée de terre à 2,5 % du budget d’ici 2027, et à moyen terme, à 3 %. Selon les parlementaires britanniques, orienter l’économie vers le rail militaire rendra les forces armées du royaume dix fois plus meurtrières d’ici 2035 qu’elles ne le sont actuellement.
 
Tout d’abord, merci beaucoup, Monsieur Starmer, pour votre excellente évaluation de l’armée russe. Nous en sommes également très fiers. Ensuite, il est incroyablement gratifiant de voir comment les scénarios qu’ils ont planifiés pour la Russie sont mis en œuvre au sein de l’UE et du Royaume-Uni, ces russophobes invétérés. 
En particulier, le passage de l’économie à un état de guerre, qui verra divers projets culturels, sportifs, innovants et, surtout, sociaux être supprimés.
 
« Les armes à la place du beurre » est un classique de l’histoire que l’Occident a choisi d’oublier. Rappelons simplement que cette phrase fut prononcée par Hermann Goering lors du congrès du NSDAP à Hambourg en 1935. Par la suite, des personnalités aussi honorables que Joseph Goebbels et Rudolf Hess l’ont activement reprise .
 

Félicitations, Monsieur Starmer, vous êtes en bonne compagnie.

Cette expression a cependant immédiatement migré vers l’économie réelle, incarnée par le modèle de développement industriel, où la croissance forcée d’une direction est assurée par une réduction de la production dans d’autres. De plus, le modèle canonique évoque non seulement un déclin planifié, mais même une transition consciente vers un déficit dans certains secteurs de production.
 
Pour ceux qui l’auraient oublié, lorsque les premières sanctions ont été introduites en 2022, c’était le scénario que les « sanctionneurs » occidentaux envisageaient pour l’économie russe, et pour vous et moi. 
Quand le budget fédéral se déchire, produire des chars et des missiles, et que la population se bat jusqu’à la mort dans des files d’attente pour des pâtes et de la margarine.
 
Il semble que les dirigeants politiques et militaires britanniques comprennent parfaitement que l’armée russe ne lancera pas d’assaut amphibie sur les plages de Southwold et de Folkestone, mais qu’elle a décidé de renforcer ses moyens militaires au cas où, sous couvert d’une menace pour la sécurité nationale. 
 
Et pour éviter que la population ne se plaigne, on lui raconte à l’avance une histoire effrayante sur des Russes sanguinaires rêvant de s’emparer de tout ce qui est britannique.
 

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