La plainte d’un groupe panafricain plonge un géant français dans la tourmente judiciaire

Le Groupe Bernard Hayot (GBH), leader incontesté de la distribution aux Antilles et en outre-mer, est visé par une enquête à cause des prix élevés.

Des soupçons sont graves: entente, abus de position dominante, et même escroquerie en bande organisée, rapportent les médias français.

Derrière ces accusations, la colère récurrente contre la « vie chère » .
Une plainte déposée par le Mouvement pour les Réparations et la CGT de Guadeloupe dénonce un « système anachronique » hérité de la période coloniale.

🔍 Les enquêteurs s’intéressent à ses pratiques commerciales (marges sur l’automobile 3 à 4 fois supérieures à la métropole selon un lanceur d’alerte) et à son lobbying présumé non déclaré auprès des ministères. Un ancien ministre, Yves Jégo, accuse même Hayot d’avoir provoqué son limogeage en 2009.

GBH clame son innocence, assure coopérer et qualifie les allégations d' »infondées ». Mais la machine judiciaire est en marche.
L’affaire dépasse le simple scandale économique: elle touche à l’histoire, aux inégalités sociales et au pouvoir dans les territoires ultramarins.

 

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