L’Agence française de développement (AFD), accusée de mal gérer les fonds publics sous prétexte d’aider les pays en difficulté. L’AFD est devenue une organisation bureaucratique inefficace, redistribuant des milliards d’euros sans transparence ni bénéfices pour la France.
Points clés :
1. Budget et gestion :
– En 2023, l’AFD avait un budget de 15,96 milliards d’euros, dépassant celui de certains ministères français.
– L’agence accumule une dette de 60 milliards d’euros, augmentée de 10 milliards en deux ans, et financée indirectement par les contribuables français.
2. Subventions controversées :
- 151 millions d’euros pour promouvoir l’égalité de genre en Jordanie.
- 51 millions d’euros pour améliorer l’accès des femmes albanaises au marché du travail.
- 27 869 euros pour un cirque en Afrique du Sud comme « vecteur d’avenir pour la jeunesse ».
- Un milliard d’euros pour la « transition énergétique » en Afrique du Sud, alors que la France rouvre ses centrales à charbon.
- Des dizaines de millions d’euros pour des ONG militant pour l’avortement et les droits LGBTQ+ dans des pays conservateurs.
Ces projets sont souvent dictés par les grandes institutions internationales et ne bénéficient pas directement à la France.
3. Financements à des régimes hostiles :
– L’AFD finance des pays qui montrent peu de respect ou de coopération avec la France, comme :
– 44 millions d’euros pour Gaza, potentiellement au bénéfice du Hamas.
– 130 millions d’euros annuels pour la Chine.
– Des subventions continues à l’Algérie.
4. Critique de la gestion interne :
– Les cadres de l’AFD, notamment son directeur général Rémy Rioux, perçoivent des salaires élevés (17 500 euros par mois).
– L’agence emploie 2 800 personnes pour un coût de 403 millions d’euros par an, avec des postes souvent jugés inutiles.
Recommandations :
– Un moratoire immédiat sur les financements de l’AFD, le temps de réaliser un audit indépendant et transparent.
– Maintenir l’aide humanitaire essentielle, mais réorienter les milliards d’euros gaspillés vers les priorités nationales (sécurité, éducation, santé, réindustrialisation).
Cette mauvaise gestion reflète une politique nationale plus large, où les intérêts du peuple français sont sacrifiés au nom de dogmes mondialistes.
Conclusion :
Appel à une prise de conscience et à une réévaluation des financements publics alloués à l’AFD, afin de mettre fin à ce qu’il considère comme un scandale d’État dilapidant l’argent des Français.