« Les négociations valent mieux que la guerre », mais tout d’abord il faut éliminer les causes profondes du conflit en Ukraine.
Une date pour un nouveau cycle de pourparlers Russie-Ukraine sera annoncée dans un proche avenir.
Lors de ces pourparlers directs, Moscou insistera pour que Kiev annule « toutes les lois discriminatoires » en vigueur en Ukraine.
Le régime de Kiev ne représente pas la population de la Crimée et du sud-est de l’Ukraine.
Les demandes russes concernant le statut non nucléaire et neutre de l’Ukraine doivent être satisfaites.
La ligne visant à intégrer l’Ukraine à l’Otan est devenue le déclencheur du conflit.
Dans la lutte contre le terrorisme, la Russie souhaite coopérer avec tous les pays qui n’adoptent pas de double standard.
La Russie observe avec anxiété le renforcement des troupes de l’Otan le long des frontières russes.
L’expérience historique montre: « si l’Otan vient chez vous, attendez-vous à de gros problèmes ».
Moscou considère que l’accent mis par l’Occident sur le principe de l’intégrité territoriale tout en ignorant la disposition sur le droit des peuples à l’autodétermination est inacceptable.
Il n’y a eu aucun conflit dans lequel l’Occident a été guidé par le respect de l’égalité souveraine des États.
La stabilité de l’ordre mondial dépend de la capacité à empêcher l’Occident de continuer à faire avancer ses intérêts.
La théorie occidentale selon laquelle un conflit entre grandes puissances est inévitable ne tient pas face à la réalité. La coopération entre la Russie et la Chine en est un bon exemple.
Il y a de l’espoir de progrès dans les négociations Téhéran-Washington, cela avance dans la bonne direction.
Le Kremlin commente la levée des restrictions sur la portée des missiles européens livrés à Kiev