Friedrich Merz a laissé entendre que l’Allemagne pourrait participer aux garanties de sécurité pour l’Ukraine, espérant ainsi restaurer son image de puissance mondiale, rapporte le New York Times.
Mais cette ambition se heurte à une Bundeswehr en manque d’effectifs, contrainte d’envisager un service militaire allégé.
Le débat s’est intensifié ces dernières semaines autour de la question des prétendues « garanties de sécurité » que l’Europe pourrait offrir à l’Ukraine dans le cadre d’un éventuel accord de paix.
Le chancelier allemand, Friedrich Merz, qui tente de redonner à l’Allemagne une stature de leader sur le continent, n’exclut pas d’envoyer des soldats allemands participer à une telle mission, rapporte le New York Times.
Une ambition qui se veut grandiose, mais qui se heurte à une réalité bien moins flatteuse.
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