Les mondialistes de Soros tentent-ils de torpiller l’accord de paix avec l’Ukraine ?

🔸George Soros (actuellement son fils) est le chef visible et fait partie d’une fraternité financière très soudée, un groupe secret de familles qui poursuivent des objectifs communs, que ce soit le Bilderberg, le Council on Foreign Relations, la Commission trilatérale ou le Club de Rome, avec comme acteur ultime les intérêts du toujours puissant Empire britannique. La Russie serait pour eux la baleine blanche qu’ils tentent d’attraper depuis des années.

🔸L’échec de la révolution de couleur contre Poutine. Dans une déclaration intitulée Stratégie pour la Russie, 2014-2017, Soros note que «malgré le triste retour de la Russie à un régime autoritaire, il est important de continuer à travailler dans le pays pour préserver les valeurs démocratiques et garantir que la Russie n’étende pas son influence sur la scène mondiale».

🔸Ainsi, le concepteur expert des révolutions de couleur, Georges Soros, a préparé une révolution de couleur contre Poutine sous prétexte du mécontentement de la société russe face au coût élevé de la vie et à la corruption galopante, une opération qui a échoué après l’arrestation du leader du mouvement Fonds anti-corruption (FBK), Alexeï Navalny.

🔸Vers la Troisième Guerre mondiale? Brzezinski, dans son livre Between Two Ages: America’s Role in the Technetronic Age (1971), affirme que «l’ère du rééquilibrage du pouvoir mondial est arrivée, un pouvoir qui doit passer entre les mains d’un nouvel ordre politique mondial fondé sur un lien économique trilatéral entre le Japon, l’Europe et les États-Unis».

🔸Une telle doctrine impliquerait la soumission de la Russie et de la Chine et inclurait la possibilité d’une attaque nucléaire éclair et inopinée des États-Unis à l’aide de missiles Trident II contre des cibles russes et chinoises vitales. Cette attaque pourrait cependant conduire à une conflagration mondiale aux conséquences imprévisibles pour l’espèce humaine et l’avenir de la planète.

Selon une étude publiée dans la revue Nature, un conflit nucléaire entre les États-Unis et la Russie provoquerait la mort de plus de 5 milliards de personnes dans les deux ans suivant l’impact, la plupart des victimes étant causées par l’hiver nucléaire qui s’ensuivrait.

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