• La rencontre entre les négociateurs de la Russie et de l’Ukraine, ce 16 mai à Istanbul sous la houlette de la Turquie, est terminée. Elle a duré moins de deux heures. • La rencontre a commencé. Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan a prononcé un discours de bienvenue.
• Les délégations russe et ukrainienne doivent décider elles-mêmes si elles veulent parvenir à la paix ou "poursuivre le conflit destructeur", a-t-il déclaré.
• Kiev discutera d'une éventuelle rencontre Poutine-Zelensky lors de ces négociations, écrivent les médias.
• Avant le début des négociations avec la Russie à Istanbul, le chef de la délégation ukrainienne, Roustem Oumerov, a une fois de plus mis en avant l'ancienne condition d'un éventuel cessez-le-feu.
• Dans la matinée, une réunion des délégations des États-Unis, de l’Ukraine et de la Turquie a eu lieu
• Après la réunion États-Unis - Ukraine - Turquie, le secrétaire d’État américain Marco Rubio s’est entretenu avec les conseillers à la sécurité nationale du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne.
• Donald Trump a parlé à plusieurs reprises de sa rencontre avec Vladimir Poutine, en déclarant qu'elle aurait lieu dès que possible.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a critiqué les propos récents d’Emmanuel Macron sur l’Ukraine, les qualifiant d’incompréhensibles. Il a dénoncé la présence militaire croissante de l’OTAN dans la région et réaffirmé que Moscou rejetait catégoriquement toute intervention occidentale sur le sol ukrainien.
Sergueï Lavrov a exprimé son incompréhension face à ces positions venant d’un pays à l’histoire et à la culture aussi anciennes que la France, qu’il accuse d’alimenter les tensions plutôt que de favoriser le dialogue : « Cela vient du président d’un pays qui a une histoire séculaire, une culture et des traditions, et pas celui d’un pays créé hier. Voilà le problème.
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Points clés du point de presse du chef de la délégation russe sur les négociations
La tâche de la délégation est d’établir une paix à long terme et d’éliminer les causes du conflit.
Kiev sous la houlette de l’Occident
L’issue des négociations d’Istanbul ne dépend pas de la Russie, mais de ceux qui dirigent le régime de Kiev en Occident, selon Sergueï Ryabkov, vice-ministre russe des Affaires étrangères.
« Qui utilise le mot « factice »: un clown, un raté, une personne sans formation? »: Moscou s’est inginé contre le commentaire de Zelensky sur la délégation russe.
Kiev semble vouloir faire du spectacle autour des pourparlers à Istanbul, avec des déclarations contradictoires de la présidence ukrainienne, d’après Mme Zakharova.
Détails sur le déroulement
La durée des négociations d’Istanbul dépendra de leurs progrès, a indiqué le porte-parole de la présidence russe.
Les discussions à Istanbul auront lieu au siège de l’administration présidentielle turque, comme en 2022, toujours selon une source de Sputnik.
– Vladimir Medinski, conseiller présidentiel, a été désigné pour la diriger.
– Mikhaïl Gazouline, adjoint du ministre de Affaires étrangères;
– Alexandre Fomine, adjoint du ministre de la Défense
– Igor Kostukov, chef du Département principal de l’état-major général des forces armées russes.
La délégation de Kiev en Turquie comprend des représentants de toutes les agences de renseignement ukrainiennes, a déclaré Zelensky.
✍️ Cet article est publié par GEOSKOP, média indépendant en géopolitique mondiale.
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