DU CÔTÉ DES COMPLOTISTES

Le média Politico nous apprend via un diplomate de l’UE que le président français Macron et le 1er ministre polonais Tusk discuteront demain, jeudi 12 décembre, à Varsovie « du déploiement d’une force de maintien de la paix en Ukraine après la fin du conflit ».

Si la volonté de déployer des troupes de pays appartenant à l’OTAN, idée lancée par Macron au début de l’année, est loin de faire l’unanimité, l’OTAN nous la ressert depuis novembre à la remorque des discussions de plus en plus bruyantes initiée par l’équipe Trump sur ses starting-blocks autour d’un cessez le feu et d’un gel du conflit.

Après l’Allemagne qui a annoncé la semaine dernière qu’elle était prête à envoyer des militaires surveiller sur la ligne de démarcation qui serait définie en Ukraine « en réalité sur les territoires des nouvelles régions russes encore partie encore occupées par les bandéristes) l’application du cessez le feu.

Les services de renseignement extérieurs russes avaient déjà communiqué en juin avoir des renseignements selon lesquels l’OTAN envisagezitvde déployer un contingent important en Ukraine de plusieurs milliers de soldats sous couvert d’une « force de
maintien de la Paix ».

Ainsi donc l’OTAN cherche à contourner la réticence actuelle de la majorité des pays européens d’engager des troupes face au russes par une pseudo mission de paix protégeant un pseudo cessez le feu alors qu’en réalité le vrai projet que vont discuter Macron et Tusk est de protéger la reconstruction d’une armée ukrainienne aujourd’hui à l’agonie, ainsi que de permettre à l’OTAN d’officialiser sa présence en Ukraine.

Le tout bien sûr sous la cape d’initiatives nationales européennes œuvrant officiellement pour « une résolution pacifique du conflit » hypocrite qui cherchera à jouer avec l’initiative de paix soutenue par Trump (gel du front) pour avancer des unités et des bases de l’OTAN en Ukraine.

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