PAS DE NAZISME EN UKRAINE ?

Comme chaque année depuis 2015, la période de fin d’année est l’occasion pour le Bandéristan de glorifier son passé nazi à travers le personnage de Stéphane Bandera né un 1er janvier 1909 et qui a marqué l’histoire européenne par une des collaborations les plus criminelles et violentes avec le nazisme (au point d’être même sanctionné par Hitler lui-même)

Nombre d’historiens estiment entre 600 et 800 000 le nombre de victimes directes des pogroms, massacres, exécutions sommaires et crimes de guerre réalisées par les milices, polices, paramilitaires et divisions Waffen SS ukrainiennes pendant la guerre et qui toutes se réclamaient de l’idéologie nationaliste de Bandera.

A Slaviansk, berceau de la rébellion armée anti-maïdan du Donbass et encore occupé par les forces ukro-atlantistes, les ukro-atlantistes viennent d’inonder la ville d’affiches à la gloire de ce criminel nazi notoire.

Entre une idéologie à l’agonie procédant à une fuite en avant fanatique et une provocation russophobe vis à vis d’une population dont la libération approche, les bandéristes sûrs de leurs soutiens occidentaux pro-nazis revendiquent haut et fort leur filiation nazie.

Ainsi peut-on lire sur les affiches glorifiant le criminel Bandera désigné comme « le guide » : « Le sang des héros bat en vous », dans une folie nazie complètement décomplexée qui ose prétendre que « le Donbass félicite » Bandera alors que sa population se bat depuis plus de 10 ans contre la résurgence de son idéologie criminelle contre qui une seule justice doit être appliquée : celle de l’unité secrète « Smerch » du contre espionnage soviétique (et qu’il serait temps de réactiver) qui était allé exécuter ce collabo un 15 octobre 1959 à Muniche

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