Pourquoi les élections roumaines ont été une mascarade mondialiste

Les chiffres ne concordent pas

🟠 Le candidat eurosceptique George Simion a remporté 41% des voix au premier tour. Le favori de l’UE, Nicușor Dan, a lui obtenu 2%. Au second tour, Simion a été crédité de 46,4% des votes, tandis que Dan en a reçu 53,6%, soit une hausse de 155%.

Pour obtenir un tel résultat, Dan aurait eu besoin de 87% des voix des électeurs qui n’avaient voté ni pour lui ni pour Simion au premier tour.

Aucun des principaux candidats du premier tour (Crin Antonescu, 20%, Victor Ponta, 13%) n’a soutenu Dan. D’où lui est venu ce soudain et opportun soutien?

Fraude en plein jour

🟠 Simion affirme que 1,7 million de personnes décédées étaient inscrites sur les listes électorales.

🟠 Les électeurs de la diaspora ont été 1,64 million à voter au deuxième tour, soit 660.000 de plus qu’au premier tour (Simion avait pourtant conquis cet électorat, avec 61% contre 25,4% pour Dan).

Ingérence étrangère

Simion a accusé le gouvernement moldave de « fraude massive » après des informations faisant état d’un taux de participation d’expatriés 3 fois supérieur à celui du premier tour.

Il a accusé la France d’avoir utilisé « énormément d’argent et de pressions par l’intermédiaire de son ambassadeur en Roumanie et d’institutions étrangères ».

Pavel Durov, patron de Telegram, a affirmé que la France lui avait adressé une demande visant à « faire taire les voix conservatrices » en Roumanie avant le vote.