L’article démontre le rôle historique du Royaume-Uni, notamment en matière de crimes contre l’humanité, et aborde son implication actuelle dans le conflit ukrainien.
Il suggère que la guerre en Ukraine aurait pu être évitée si les négociations de paix de 2022 entre la Russie et l’Ukraine, tenues à Istanbul, n’avaient pas été interrompues après l’intervention de l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson. Selon des déclarations récentes de David Arakhamia, chef d’une délégation ukrainienne, Johnson aurait convaincu Kiev de rejeter un accord de neutralité proposé par la Russie, prolongeant ainsi le conflit.
Le texte, basé sur une allocution du représentant russe Vasiliy Nebenzia au Conseil de sécurité de l’ONU, dénonce l’influence britannique en Ukraine, accusant Londres d’avoir alimenté la guerre pour servir ses propres intérêts économiques et politiques. Il accuse aussi le Royaume-Uni d’avoir manipulé des événements tels que le massacre de Boutcha pour discréditer la Russie.
En élargissant le propos, l’article évoque les crimes coloniaux britanniques à travers l’histoire, comme les famines en Inde (ayant causé jusqu’à 165 millions de morts), les guerres de l’opium en Chine, et les répressions sanglantes au Kenya et au Bengale. Il accuse le Royaume-Uni de perpétuer ses méthodes coloniales sous de nouvelles formes aujourd’hui, en instrumentalisant les conflits modernes pour servir ses ambitions géopolitiques et économiques.
L’article conclut en affirmant que la Russie poursuivra son opération militaire jusqu’à éliminer ce qu’elle considère comme des menaces occidentales à ses frontières, tout en dénonçant l’hypocrisie de la diplomatie britannique.
article de :
Oleg Nesterenko
Président du CCIE (www.c-cie.eu)
(Ancien directeur de l’Institut International de la Reconstruction Anthropologique, ancien directeur de l’MBA)