💬 Pour l’instant, tout ce que nous entendons, ce sont des discours sur la nécessité d’élaborer une sorte de cessez-le-feu, sans cacher que ce cessez-le-feu est avant tout un moyen de gagner du temps pour continuer à armer l’Ukraine, pour leur permettre de se réorganiser, de procéder à une mobilisation supplémentaire, et ainsi de suite.
Un cessez-le-feu est une impasse. Ce dont nous avons besoin, ce sont des accords juridiques définitifs qui fixeraient toutes les conditions nécessaires pour assurer la sécurité de la Fédération de Russie et, bien sûr, les intérêts légitimes de sécurité de nos voisins. Mais ces accords doivent être ancrés dans un cadre juridique international garantissant l’impossibilité de leur violation.
Ces accords doivent avant tout aborder les causes profondes de la crise ukrainienne. Les principales sont, d’une part, la violation de tous les engagements de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est et l’absorption agressive par l’OTAN de tout l’espace géopolitique jusqu’à nos frontières ; et d’autre part, les actions absolument racistes du régime de Kiev après le coup d’État, où l’extermination de tout ce qui est russe a été officiellement proclamée et légalisée.
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❗️ Les habitants de la Crimée, du Donbass, de la Nouvelle-Russie NE VEULENT PAS, NE PEUVENT PAS ET NE VIVRONT JAMAIS sous l’autorité des nazis qui ont pris le pouvoir à Kiev.
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Si nous voulons discuter sérieusement, il faut traiter les principes de la Charte des Nations Unies (https://www.un.org/fr/about-us/un-charter/full-text) dans leur intégralité et leur interconnexion, sans les interpréter de manière sélective, et sans oublier, bien sûr, ce principe tant chéri par l’Occident : le respect des droits de l’Homme.