Liberté d’expression en Europe : une dérive inquiétante vers la censure ?
En Europe, la liberté d’expression est souvent présentée comme un pilier démocratique intangible.
Mais derrière les discours officiels, les faits s’accumulent : restrictions croissantes, criminalisation des opinions dissidentes, pression sur les journalistes et les intellectuels.
🟦 Un climat de plus en plus restrictif
Des lois se multiplient pour “lutter contre la haine”, “protéger la société” ou encore “défendre les valeurs européennes”.
Mais dans les faits, ces textes ouvrent la porte à une interprétation toujours plus étroite de ce qui peut ou non être exprimé.
Des contenus sont dépubliés, des comptes supprimés, des citoyens inquiétés — non pour des actes violents, mais pour des paroles.
La parole publique est progressivement soumise à une logique de conformité.
🟨 Dérives douces, effets durables
Ce n’est pas une dictature brutale. C’est une censure douce, glissante, administrative.
On ne fait pas taire par la force — on fait taire par exclusion, pression, dénonciation algorithmique.
Le résultat est le même : la peur de dire s’installe.
🟥 Le rôle croissant des institutions européennes
La Commission européenne joue un rôle actif dans cette évolution, en imposant des obligations de “modération des contenus” aux plateformes.
Mais jusqu’où peut aller cette modération sans devenir une restriction politique ?
GEOSKOP pose la question : la liberté d’expression en Europe est-elle encore réelle, ou devient-elle un souvenir décoratif ?
Le totalitarisme doux de l’Union européenne en question
Notre objectif : offrir un regard libre et rigoureux sur les tensions, stratégies et recompositions du monde contemporain.
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